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Ma sœur m'a aidé à devenir travesti

Je suis bisexuelle, n’étant pas opérée, je peux être active et passive, comme ça se dit aujourd’hui, selon les goûts de mes amants et de mes amantes ou selon mes propres envies. Je ne suis pas une professionnelle et ne fais pas commerce de mon physique ou de mes charmes, j’ai un métier.
Même si je suis une créature ambiguë du 3ème sexe, j’ai une allure féminine, et je dois avouer que j’adore le sexe et que ma vie est plutôt riche de rencontres et d’expériences.
Physiquement, je suis mince, épilée intégralement, avec des cheveux courts à la garçonne et j’ai des yeux noirs, je mesure 1,72m, pour 60 kg, j’ai une petite poitrine aux auréoles brunes, et pour finir, je suis très étroite des hanches, cambrée avec de petites fesses et un petit cul serré.
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Depuis que je suis petite, et oui j’emploie le féminin pour moi, j’ai toujours été attirée par le fait de m’habiller en femme, et grâce à ma soeur, l’occasion de réaliser ce phantasme fut possible, car chaque fois que Nadia ma soeur, que j’appelle Nad dans mon récit, comme dans la vie, était absente de la maison, j’en profitais pour passer ses vêtements.
Bien que plus âgée que moi de 2 ans, nous nous ressemblons et avons depuis toujours le même physique et, à cette époque, nous étions très proches l’une de l’autre et nous partagions tous nos petits secrets.seinsde-travesti.jpg

Très tôt dans ma jeunesse, j’allais souvent dans la chambre de ma sœur Nadia pour me travestir, elle était très gâtée par mes parents car elle réussissait merveilleusement à l’école, et ils lui donnaient de l’argent de poche, je savais qu’elle aimait les dessous, tout son argent de poche y passait.
Dès qu’elle était absente, je m’aventurais dans sa chambre, en explorant tous les rangements qui pouvaient abriter des trésors, à la recherche des lingeries, j'ai fini par trouver que c'était la commode qui contenait tous les trésors de nylon et de dentelle, j'ai ouvert un à un les tiroirs, découvrant ses petites culottes, ses soutien-gorge, ses combinaisons, ses bas, ses porte-jarretelles, plein choses très sexy que je n'aurais jamais imaginé avoir un jour à portée de main. Après avoir touché, caressé et même senti toutes ces belles choses, je n'ai pas pu m'empêcher de revêtir ses affaires, étant du même physique que Nadia, tout m'allait très bien, du soutien-gorge au porte-jarretelles, en passant par les bas, la combinaison et même ses escarpins.
Donc souvent dans la chambre de ma soeur, je m’habillais dans ses habits de fille et passais mon temps à me regarder dans la glace, et ces instants étaient du pur émerveillement, puis plus tard, je me suis mise à me maquiller lors de ces instants de solitude.
Durant cette période pendant laquelle je me partageais entre l’école et le plaisir de me travestir secrètement et mes plaisirs solitaires, je n’avais à l’époque, car compte tenue de mon ambiguïté, aucune relation sexuelle avec des filles de mon âge, simplement des attirances d’amitié, par contre je me sentais vraiment attirée par les garçons de mon âge ou même plus vieux, la solitude et mes plaisirs seuls habitaient mon quotidien.
Souvent le soir, seule allongée nue sur mon lit, je me caressais faisant bander mes petits bouts de tétons, tout en caressant mon sexe qui durcissait et se dressait fièrement vers le plafond de la chambre, puis fermant les yeux, je pensais à des corps enlacés faisant l’amour dans toutes les positions, je me laissais à rêver enserrant des sexes dans mes mains et les branlant jusqu’à la jouissance. Dans ces moments là, je me branlais jusqu’à la jouissance complète, lâchant vers le plafond ma semence en de longs jets.
Parfois, je passais un doigt sur mon anus, le caressant, je réveillais alors en mon corps des frissons et des désirs, je prenais plaisir à m’enfoncer divers objets dans l’anus en attendant qu’un autre jour, je connaisse les délices d’un zob en moi.frere-et-soeur.jpg

Bien sur très rapidement, ma sœur a découvert mon tendre secret et c’est avec un certain délice que nous avons partagé ces instants où ma sœur me conseillait sur la façon de me maquiller ou de m’habiller en fille. Dans l’intimité partagée, elle m’appelait Laila comme je voulais que cela soit plus tard. Avec elle, j’ai aussi découvert le plaisir de porter des sous vêtements et d’être admirée, toutes ces tenues sexy mettant en valeur mon physique, et j’avoue que c’est à ce moment là que mon amour pour les bas, les portes jarretelles et les strings est né. Ma sœur étant majeure à l’époque et adorant la lingerie, comme je l’ai dit, toutes ses économies y passaient et c’est elle aussi qui m’a appris comment marcher avec des talons aiguilles sans être vulgaire, mais juste avec charme et sensualité.
Souvent dans sa chambre, nous passions d’une tenue à une autre et durant ces changements, nous regardions nos nudités en faisant des comparatifs.
Durant cette période, alors que nous étions dans sa chambre, nues toutes les deux comme de coutume lors de nos séances d’essayage, ma soeur me montrait ses nouveaux trésors et nous étions assises au bord du lit, nous passions un moment merveilleux, elle me parlait maintenant comme à une fille, ce qui était très excitant.
Nadia m'entoura alors la taille d’un porte-jarretelles rose, en forme de serre taille avec de courtes jarretelles, puis me passa le bustier et la petite culotte assortis, elle rajouta des bas blancs à couture d'une finesse extrême, qu’elle m'enfila avec application, un bas puis l'autre, me fit mettre debout et agrafa les bas aux jarretelles du serre taille. Nad remarqua que ma poitrine était bien plate pour une poitrine de fille, on y remédia en glissant à son initiative des culottes roulées en boule dans les bonnets du soutien-gorge, elle me montra une paire d'escarpins noirs fermés avec une fine bride, je me levai du lit et me dirigeai vers elle en imitant sa démarche.
Une fois, l'une devant l'autre après cet après-midi d’essayage, nous eûmes envie de nous embrasser, les mains autour de nos cous, alors que nos bassins étaient collés l'un contre l'autre, nos hanches commençaient à ondoyer et mon sexe raide, protégé par le fin écrin de nylon de ma culotte frottait contre son pubis épilé, celle-ci fut troublée, et alors que nos lèvres se rapprochaient, Nad me dit doucement :
- Restons-en là, ma chérie, mettons une nuisette et allons au lit dormir.
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Plaisirs intimes.

Durant cette période, sachant qu’au fond de moi, je désirais être femme ou tout du moins avoir l’apparence d’une femme et de ce fait plaire aux hommes ou pourquoi pas aux femmes, je demeurais seule sans relations et je me contentais de me donner du plaisir en solitaire.

C’est ainsi que me donnant du plaisir en solitaire, j’ai découvert en me masturbant le plaisir anal.
Je comprends les femmes, qui affirment n’avoir aucun plaisir à être caressées analement et refusent la pénétration anale par un doigt, un gode, ou un sexe d'homme, bien sur que cela peut faire un peu mal les premières fois mais quel plaisir après d’accepter de se donner entièrement et d’être sodomisée.
C’est lors d’un plaisir solitaire où, comme à chaque fois je me caressais d’un doigt mon petit trou plissé tout en me masturbant allongée sur mon lit que j’ai osé plonger mon doigt dans mon anus.
Mon index glissa à l'intérieur de mon conduit anal et une bouffée de chaleur m’envahit, de mon autre main je continuais à me branler le sexe en effleurant de temps en temps mon gland, tout en continuant à faire des va et vient avec mon doigt dans mon petit trou.
Mon anus se détendait sous l’action de mon doigt et je sentais que je m’ouvrais à cette pénétration, ma jouissance est montée progressivement, mon sexe était dur et mon rectum ouvert, je ne pouvais plus m'arrêter jusqu’au moment où de longs jets jaillirent de mon membre.
Dans les jours qui suivirent, j’ai remplacé mon doigt par une bougie, plus longue et plus raide, puis ce fut avec d’autres objets de plus en plus gros et longs que je me suis sodomisée, m’habituant petit à petit à être pénétrée analement.
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Depuis, j’avoue prendre beaucoup de plaisir à être sodomisée, j'aime pratiquer tout ce qui est plaisir anal avec les hommes ou avec les femmes.

 

groupe se travestir

Mer 4 sep 2013 1 commentaire
Abusé par Rachid, l’amant de ma mère

Après la fameuse première fois avec Rachid, l’amant de ma mère, rien n’a plus été comme avant. Cette étrange mésaventure a complètement brouillé l’idée que je me faisais de ma personnalité, de ma sexualité… A la fois, j’avais honte et je ne me reconnaissais pas dans ce « garçon » traité comme une fille et forcé à la soumission. Et d’un autre côté, je n’avais jamais eu autant de plaisir. Bien sûr, je me répétais que je ne rêvais que de pouvoir enfin faire l’amour avec une fille. Mais les nuits suivantes, lorsque je glissais nu dans mon lit, les caresses du drap sur mes fesses m’excitaient. J’imaginais que c’était les mains de Rachid. Je me caressais alors moi-même les fesses, puis mon petit trou…et invariablement, je finissais par me branler, en me ramonant l’anus avec un ou deux doigts, et en me représentant Rachid en train de me défoncer tout en m’insultant.

Bien sûr, je me suis arrangé pour ne plus croiser Rachid : je ne quittais plus ma chambre dès que je l’entendais rentrer, sauf nécessité, pour aller aux toilettes et je ne manquais pas de fermer le verrou intérieur, pour « conserver mon intimité ».
Mais une semaine, jour pour jour, après que Rachid a abusé de moi, j’ai entendu des pas lourds s’approcher de la porte de ma chambre, et j’ai vu la poignée tourner. La voix de Rachid retentit alors, rythmée par des coups de poings sur la porte :
-Ouvre P’tite pute, j’ai à te parler !
-De quoi ?
-T’occupes, je suis ici chez moi et je vais où je veux, tu m’entends.
Sa voix était si autoritaire que je me suis immédiatement dirigé vers la porte, les jambes flageolantes, et j’ai retiré le verrou. La porte s’est immédiatement ouverte sur un Rachid tout énervé.
-Bon j’ai réfléchi après à propos de l’autre fois.
-Mais…
-Ta gueule, ne m’interromps pas ! Tu ne crois tout de même pas que je vais laisser une lopette faire la loi chez moi ! J’ai réfléchi, je veux bien te garder, mais il va falloir que tu règles une sorte de loyer !
-Quoi ?
-Oui, ce sera, comme qui dirait, un loyer hebdomadaire : Tous les jeudis, à partir d’aujourd’hui, tu seras la petite pute de tonton Rachid, t’as compris ?
-Mais…
-Ta gueule ! On est jeudi justement, alors tu vas commencer aujourd’hui. Et comme je suis quand même gentil, regarde, je t’ai apporté une tenue de travail !
Il jeta sur mon lit la pile de vêtements qu’il avait sur le bras.
-Je te donne 20mn pour te préparer ! Et t’as intérêt de te faire jolie sinon gare !
Je restais devant lui, abasourdi.
-Ah oui au fait, je veux aussi que tu sois propre ! Je t’ai laissé une poire à lavement dans les toilettes, tu sais t’en servir ?
-Euh, oui je crois…
-Bon très bien, dépêche-toi ! Et quand tu es prête, tu me rejoins au salon !

Encore une fois je me retrouvais désemparé, j’ai fait ce qu’il m’a demandé, je suis passé sous la douche et j’ai mis les vêtements qu’il avait apportés. En fait de vêtements, il y avait un porte-jarretelles noir, et des bas que j’ai enfilés. Cela me faisait un drôle d’effet, la caresse de ces bas sur mes cuisses. Je me disais que les femmes devaient se préparer ainsi avant les rendez-vous galants. J’ai enfilé le slip noir en dentelles : c’était un string. Je me suis contemplé devant le miroir, c’est vrai que mes petites fesses étaient belles, soulignées par ce petit triangle de dentelle qui pointait vers ma raie, semblant indiquer : « c’est là que cela se passe ! ». J’ai ensuite mis la robe en satin (ou était-ce une nuisette ?), qui me caressait agréablement la peau. Et j’ai complété ma tenue par la perruque blonde qu’il avait jointe au « déguisement ». Et là, il se produisit quelque chose de bizarre : la silhouette que je contemplais dans la glace n’était plus moi. Je me suis amusé à me trémousser au son de la musique devant la glace, cette blonde était gracile et sensuelle. Je me suis caressé les seins, ma peau était douce, je m’excitais moi-même. Je pouvais le constater en passant une main sur mon micro slip, il était tendu comme un arc, tellement que je me faisais moi-même bander.
-Eh bien, elle s’amuse toute seule la petite salope !
Rachid venait de rentrer dans ma chambre.
-Hmmm, t’es belle comme cela, tu sais ! Mais vas-y, ne te dérange pas pour moi, continue à danser !
Je n’eus pas le temps de réagir, Rachid était déjà derrière moi, m’étreignant tout en contemplant mon visage en regardant dans le miroir au-dessus de mon épaule. Il me plaqua une main sur un sein et l’autre sur le sexe qu’il caressa de la paume à travers la mince étoffe.
-Oui vas-y, danse, remue tes petites fesses ma belle !

Pour une fois, il était assez doux, et mon déguisement semblait lever mon inhibition. Je devenais une autre, une qui était terriblement excitée par le sexe qu’elle sentait grossir contre ses fesses. Je me mis à onduler de la croupe, et à monter et descendre mon petit cul le long du zob de Rachid, comme si je voulais le branler avec mes petites fesses. Je voyais dans la glace une danseuse sensuelle, s’adonnant à la danse sur la barre de Rachid. Et cette danseuse me faisait bander à en faire craquer ce petit slip qui m’enserrait le zizi. Rachid passa sa main sous ma robe pour remonter à nouveau vers mon zizi.
-Oui, t’es très excitante ma petite chérie comme cela. Plus excitante que ta mère !Tu sens comme tu me fais bander ma petite cochonne !
Cela je ne pouvais pas l’ignorer ! Pas plus que la caresse de ses mains, l’une sur mon mamelon gauche, devenu dur comme de la pierre, et l’autre qui poursuivait sa caresse le long de ma tige. C’était insupportablement bon. Je tentais de retenir le désir qui montait le long de ma queue, inexorablement, comme tirer par la main experte de Rachid. Mais rien n’y fit, je sentis un jet gluant maculer ma culotte au moment même où la main se posa sur mon gland.
-Mais c’est qu’elle mouille la petite salope, regarde-moi cela, comme c’est tout gluant !

Rachid se frottait à mes fesses de plus belle, en massant mon gland gluant à travers mon slip. La caresse devenait insoutenable, d’autant plus que ses amples mouvements entraînaient la ficelle du string. Celle-ci allait et venait entre mes fesses, lubrifiée par ma propre mouille. Je sentais ma petite pastille s’ouvrir pour mieux profiter de cette caresse fortuite. Je sentais le corps de cette femme m’échapper complètement. Mon gland tendu, sur mon sexe décalotté, était devenu un clitoris que Rachid s’appliquait à caresser encore et encore. Ce corps qui se trémoussait langoureusement était maintenant agité des secousses désordonnées du plaisir féminin. Seul Rachid qui me maintenait de plus en plus fermement entre ses bras semblait garder le contrôle. Et moi, devenu ELLE, semblait ravie de pouvoir s’abandonner dans des bras viriles et rassurants.
-T’es belle quand tu jouis ma petite salope ! Et tu m’excites aussi avec ton petit cul tout dur, tu sais ! Tu seras ma chérie préférée, tu prendras la place de ta mère !
Il remonta plus haut ma robe pour découvrir mes hanches.
-C’est la grosse bite de Rachid dans ton petit cul que tu veux hein ? Attends, je vais te prendre sur ton bureau !
D’un geste puissant, il me poussa entre les omoplates, tout en maintenant mon petit cul collé à sa bite. Mon buste s’affala sur mon bureau.
-Oh oui, je vais te le prendre ton petit cul ma belle salope comme j’ai pris celui de ta mère !

Il approcha la chaise et me posa un pied dessus. J’étais manipulée comme une poupée, mais cela me plaisait assez. En jetant un œil au miroir légèrement derrière moi : Je vis un petit cul de rêve découvert par une robe relevée jusqu’aux hanches. Me voir ainsi me faisait bander encore plus. J’aurais presque aimé être à la place de Rachid pour pouvoir enfoncer ma bite entre ces fesses magnifiques ! Mais à vrai dire, cela c’est ce que réclamait ma queue, parce que mon petit cul, lui, désirait toute autre chose. Et je sentais que ce vieux vicieux allait me le donner ;…Je le vis descendre le zip de sa braguette, sa belle verge jaillit, toute raide. Il écarta la ficelle de mon string. Ma position ouvrait mes fesses et découvrait complètement mon petit trou. Il le caressa de son pouce en utilisant ma mouille pour le lubrifier.
-Ah, si tu voyais ton petit œillet en étoile, ce n’est pas possible, il a été fait pour accueillir des bites !
Sa caresse m’excitait terriblement, je me cambrai davantage, offrant complètement mon trou (mon vagin ?) à son pouce qu’il fit rentrer sans difficulté. Il fit alors coulisser son doigt, tout en effleurant mes boules et mes fesses de sa grosse paluche. Cela me rendait fou !
-Hmmmm, oui, oh oui !
-Tu es chaude toi, plus chaude que ta mère ! Regarde-moi cela comme tu agites tes petites fesses sur le gros doigt de Rachid. C’est bon ça hein !
-ouiii, ouiii, c’est bon !

Je me trémoussais pour qu’il enfonce son doigt au plus profond de moi. Ce qu’il faisait maintenant sans ménagement. Mon trou était tellement ouvert et lubrifié que son gros pouce coulissait sans problème. C’était bon ! Il y mettait tellement d’ardeur, que parfois, la pince de sa main puissante me soulevait du sol, m’obligeant à me cramponner à ma table de travail. Mais même cette brutalité me plaisait ; cette impression fugace de tomber, de m’abandonner totalement à la force brutale de l’amant de ma mère, qui me ramonait de main de maître. Mais, j’étais tellement ouverte,
lailatvx - le 04/09/2013 à 09h22