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eric rouge à levres

 

Eric se passe du rouge à lèvres pour être un travesti sexy.

 

eric travesti

 

Eric est maintenant un travesti sexy prêt à séduire son amant.

 

eric baisé

 

Manifestement ce baiser prouve que le travesti a gagné et qu’il va bien s’amuser.

 

d'autres baises de travestis ici

Sam 18 aoû 2012 3 commentaires
Il y a quelques mois, j'ai avoué à ma femme Camille mon adoration pour la domination féminine et la féminisation. Celle ci curieuse mais peu à l'aise accepta quand même de tester et de se mettre dans la peau d'une dominatrice. Pour l’aider, je lui offris tout son "petit matériel" : plug, menottes, fouet, laisse, liens, et même un magnifique gode ceinture dont j'attendais avec impatience sa première utilisation. L'idée de sucer la grosse bite de plastique de ma copine en imaginant que ça soit une vraie et ensuite me la prendre violemment dans les fesses pendant qu'elle me crache dessus en me traitant de petite pute aimant porter ses fringues me faisait bander comme un taureau et m'obsédait.
Nous fîmes plusieurs fois l'amour de cette façon, elle me dominant, me féminisant et m'enculant mais si j'y ait pris du plaisir, je sentais que le cœur n'y était pas totalement chez elle, qu'elle aimait mais qu'elle avait du mal à me donner des ordres, étant à la base d'une personnalité passive et ayant peu confiance en elle. Néanmoins, nous continuâmes, étant fou d'elle je ne la forçais pas et tentais de lui faire prendre confiance en elle, de ce fait, nous arrivâmes petit a petit à une forme de compromis : quand elle se sentait "prête" pour ça, elle me demandait Ziva (mon nom de pute féminisée, choisi en hommage du personnage de Ziva David dans la série NCIS dont elle est une grande fan), me féminisait mais je devais la guider comme un metteur en scène. Ce petit jeu continua jusqu’à il y a quelques semaines.
Un soir, Camille m’appela pour me dire qu'elle passait chez moi, j'ignorais encore que ce serait la meilleure nuit de ma vie.
A 18h, elle se pointa chez moi, maquillée pour sortir, un sac en main, une robe de soie noire très courte moulant de manière sulfureuse son corps ( je pouvais aisément voir qu'elle n'avait rien dessous), des jarretelles rouges et portant ses cuissardes noires. Je lui ouvris, elle m'embrassa langoureusement puis, nous allâmes dans ma chambre. Là elle me dit le plus sérieusement du monde :" va te raser intégralement le corps, nous sortons, j'ai une surprise pour toi..." interloqué, je m’exécutais, me douchant par la même occasion afin de rendre ma peau la plus douce possible.
Revenant nu, juste couvert d'une serviette dans ma chambre, elle m'attendait assise sur ma chaise de bureau, jambes écartées, laissant voir son intimité rasée, le spectacle me mit l'eau à la bouche.
" Ce soir, me fit elle, je t'ai prévu une surprise, mais pour cela il va falloir que tu m'obéisses au doigt et à l'œil sans me poser de questions."
Surpris mais étant d'un naturel curieux, j'acceptais avec une moue dubitative. « Tu ne le regretteras pas » me fit-elle avec un petit sourire coquin. Elle se leva alors, m'embrasse puis prit le sac et me le tendit. « Pour commencer, il te faut une tenue plus adaptée vu que nous sortons, enfile ça ! »
J'ouvris le sac et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant des vêtements féminins. « Camille si on sort, je peux pas mettre ça, on va se foutre de ma gueule » lui fis-je.
« Tu m'as juré que tu m'obéirais alors fais-le, me dit-elle, sinon pas de surprise mais crois moi, tu va louper quelque chose ».
Rechignant je m'exécutais, mon cœur battant la chamade, la honte me submergeant pendant que j'imaginais le pire : si quelqu'un me reconnaissait ? Ma réputation serait ruinée, mais.... à ma honte se mêla vite autre chose. Tout en enfilant la petite culotte écossaise à froufrous qu'elle m'avait apportée, mon sexe commença à durcir, l'excitation était là aussi. Suivirent les bas noirs auto-fixants, remontant à mi-cuisse, puis le soutien gorge rembourré et enfin une robe de velours noire similaire à la sienne. N'ayant pas de bottes à ma taille, Camille me jeta une paire de sandales à talons. « Tiens, elles devraient te serrer un peu mais je n'ai que ça ». Je les enfilais et, maladroitement tentai de me lever, Camille me repoussa sur ma chaise en me lançant « Où vas tu ? Tu n'es pas prête à sortir ma belle ». Elle sortit sa trousse à maquillage et me fit la totale : lèvres, yeux, joues... j'en sortis transformé. J'allais dans la salle de bain observer ma nouvelle apparence, ma féminité était plus qu'exacerbée avec ce déguisement , ma silhouette fine et mes cheveux longs coiffés, on aurait même dit que j'avais une poitrine de jeune adolescente. Camille se glissa dernière moi et passa un doigt sur ma culotte, elle caressa mon gland, me provoquant des spasmes de plaisirs et de légers gémissements.
« Tu voit que tu aimes ça, tu commences à entrer dans ton rôle, mais rassure toi, me fit elle avec un sourire lubrique, le meilleur reste a venir ».
La nuit était tombée, nous allâmes jusqu'à sa voiture, le parcours bien que court fut laborieux du fait de ma non habitude de marcher en talons hauts. Après m'avoir installé et remit le petit sac a main en plastique « Chipie » contenant mes affaires, elle m'attacha un bandeau autour des yeux.
« A partir de maintenant, je te guide, tu n'enlèves pas le bandeau tant que je ne te l'ai pas dit sinon, c'est fichu ». « T'inquiète pas, lui répondis-je, au moins comme ça personne ne me reconnaîtra ».
La voiture démarra, je tentais de calmer la nervosité me gagnant, un subtil mélange de peur et d'excitation, je sentais en même temps que je transpirais dans ma culotte, je me tortillais dans tous les sens pour ne pas céder a la tentation d'ôter le bandeau, Camille me caressant régulièrement les cuisses et passant la main sous ma robe, me titillant effrontément, pour mieux me faire râler.
« Calme toi ma Ziva, tu es plus sexy que tu ne l'as jamais été, je sens bien que ta culotte est toute mouillée mais ne cède pas petite chienne sinon, pas de surprise. »
Au bout de ce qui me semblait être un quart d'heure de route, la voiture ralentit puis s'arrêta. Un bruit de porte qui claque, des pas, une porte s'ouvrant : Camille était en train de faire le tour et venait me chercher. A tâtons, je détachais ma ceinture et attendais qu'elle m'aide à sortir. Alors, elle m'enfila une laisse et m'entraîna dans un long couloir. Nous grimpâmes un escalier, tournâmes à gauche, je l'entendis taper à une porte qui s'ouvrit de suite après.
Une voix féminine se fit entendre : « salut ma belle, tout est prêt, et toi ?
- Comme tu le vois, fit-elle, Ziva est là et en tenue.
Une troisième voix se fit entendre « mais elle est ravissante, je sens que nous allons bien nous amuser ». Je ne dis rien, me laisse entraîner à l'intérieur de ce qui semblait être un appartement.
Je sentis deux paires de bras soulever les miens, me traîner jusqu'à une chaise, m’asseoir, les passer dans mon dos et le « clic » sonore d'une paire de menottes se refermant sur mes poignets, leur métal froid et dur se collant à ma peau. Camille me retira le bandeau, elle était entourée de deux jeunes filles: une petite brune un peu grosse a lunettes et une rousse fine assez grande. La brune avait de longs cheveux bouclés attachés en une longue natte lui retombant sur les fesses et portait un top blanc, une courte jupe en jean et des bottines brunes tandis que la rousse avait les cheveux coupés en carré et arborait simplement une robe légère d'été fleurie et des ballerines.
« Voici Maya et Gretchen, me dit Camille, je les ai rencontrées sur Internet
- C'est ça ma surprise ? Demandais-je
-Ça et bien plus encore ma chérie ».

Sur ces mots, elle embrassa longuement Maya (la brune) et commença a peloter ses gros seins biens lourds et fermes. Maya l'enlaça et prit bien fermement ses fesses en main, pendant que Gretchen, (la rousse) arrivait par derrière, glissant subrepticement ses mains entre les deux autres, la droite sur les seins de Camille, la gauche dans son entrejambe qui commençait a mouiller fortement tout en couvrant de baisers le cou de ma chérie, les deux filles lui extirpant ainsi de petits gémissements de plaisir. Elles relâchèrent leur étreinte et se tournèrent vers moi, Gretchen, les doigts encore a l'intérieur du vagin de Camille me toisa, son regard descendant sur la bosse, sur ma robe formée par mon sexe en érection.
« Tiens, tiens, tiens, mais c'est que ça l'excite cette petite salope.
- Oui susurra Camille elle doit avoir trèèèèès envie de sexe. Tu veux ma chatte ma Ziva ?
- Oui, fis je en haletant, gêné par mon érection, une furieuse envie de me masturber me tenaillant. Faut que je baise là !
- Non, me fait Maya, visiblement tu n'as pas tout compris : comment veux-tu baiser si tu es une fille, déjà ce soir, tu n'as plus de bite mais une chatte donc celle qui va se faire baiser c'est toi !
- Pardon ? M'écriais-je
- Chut ! Me fit Gretchen tout en me plaquant ses doigts pleins de jus de Camille sur la bouche. Par instinct et envie, je les léchais ne voulant perdre le bon fluide de ma chérie.
- Camille ? Demandais-je d'un regard implorant.
- Tais-toi, tu dois m'obéir Ziva, dit elle d'un ton ferme
- Mais...
- SILENCE GROSSE PUTE, hurla Maya, sa main me giflant violemment.
- Bon inutile de le faire attendre plus longtemps, lança Camille, on commence.
Les filles la regardèrent d'un air ravi, baissèrent leurs culottes d'un mouvement rapide, se tournèrent vers moi et relevèrent leur vêtement révélant …. Un pénis.
Maya et Gretchen étaient des transsexuelles !!
Vous êtes des shemales ? Articulais-je.
- Mais c'est qu'elle comprend vite la petite conne, fit Maya ! Gretchen a sa bite depuis trois ans et moi deux. C'est Camille qui nous a contactés disant que tu cherchais un plan en groupe avec des shemales, et bien tu vas être servi sale trou
lailatvx - le 07/06/2012 à 15h23

layla a une femme formidable !

 

Maribelle
belle salope
didi - le 07/06/2012 à 15h25

oui elle est mignonne !

 

Maribelle
Il s'appelle Gérard et règne sur ma libido depuis 5 ans maintenant. Il n'a rien d'un apollon, taille moyenne, dégarni, ventru, poilu. Son prénom en fait, lui va bien et pourtant, personne au monde n'est capable de me mettre en transe comme lui. Aucune queue au monde ne me fait autant vibrer. Gérard me possède et je ne renoncerai à ça pour rien au monde. Je ne suis pas amoureux de lui, en dehors du sexe, il ne m'intéresse pas et je ne le vois jamais pour autre chose que laisser s'exprimer la putain qui vit au fond de moi.

L'histoire que je vais vous raconter aujourd'hui est celle de notre rencontre et de ma première fois avec un homme, elle vous semblera sans doute bien fade et innocente. Néanmoins, sans cette journée-là, je ne serais pas, aujourd'hui, l'authentique salope qu'il m'a permis de devenir.

Séparé depuis peu de ma compagne après 8 ans de vie commune, j'étais terriblement déprimé, paumé et à la dérive. Mes seuls moments de "repos", c'étaient ces phases de phantasme absolu dans lesquelles je me laissais dériver à tous moments. Pour oublier, pour me sentir vivant. Je rencontrais aussi quelques femmes avec lesquelles je couchais sans grande satisfaction au final. Je voulais plus. Le monde du libertinage m'attirait, l'idée de pratiques un peu "perverses" aussi. Peu à peu, mes fantasmes s'orientèrent vers ces mondes-là et je cessais de rencontrer des femmes pour ne vivre ma libido que cérébralement. Jusqu' à devenir obsédé presque 24h/24. J'étais en transe permanente.
Un après-midi, prenant mon courage à deux mains, je franchis les portes d'un de ces clubs/sauna. À part deux hommes, personne. J'espérais une arrivée féminine en patientant dans le hammam. Dans ce sombre local dont le seul éclairage était le peu de lumière filtrant à travers la porte de verre dépoli. Envahi de vapeur, quasi opaque, chaud, moite, le lieu nourrissait incroyablement mes désirs de sexe trouble. Un des deux hommes finit par entrer et engagea une conversation banale et chiante. À l'autre bout de la pièce, je répondais par monosyllabe, irrité d'être dérangé dans mes rêveries. Je commençais, machinalement, à me caresser, troublé par l'idée de me toucher tout en parlant avec cet homme de tout et n'importe quoi. Il ne pouvait me voir et la situation m'excitait. Il finit par partir et je replongeai dans ces langueurs troubles. Je somnolais à moitié, perdu dans mon monde. Je ne peux décrire l'excitation qui était la mienne. Ce douloureux et magnifique désir d'une autre chair. Je ne me rendis compte de l'intrusion qu'en sentant une présence s'allonger assez près de moi sur la place carrelée. Je ne l'avais pas entendu entrer. Mes yeux habitués à l'obscurité du lieu devinaient son corps, épais, lourd. J'avais envie de continuer à me toucher, mais cela risquait de ne pas être discret. Je restais silencieux et il en fit autant. Je n'entendais que son souffle. Je me sentais troublé par la proximité de ce corps nu et encore plus troublé d'avoir envie de toucher cet homme, sa peau. Je me demandais s'il était venu se poser là, sans m'avoir vu ou si cela était délibéré. Silence toujours. Juste nos souffles. J'entendais le mien perdre de sa régularité, accélérer un peu, se saccader. Je perçus des changements dans le sien aussi. Quand ma main se rapprocha de quelques centimètres, je ne pus y croire! Mais je la laissais continuer. Elle finit par frôler son flanc et je lâchai un profond soupir. Quand je voulus la ramener, effrayé à l'idée d'une rebuffade, voire d'un coup, la sienne revint la chercher et la posa sur son ventre. Que je caressais doucement, sans y croire toujours. Je me redressais à demi pour venir lécher sa peau, ses tétons, son ventre. Sa grosse main vint caresser mon dos, ma nuque, le haut de mes fesses. Délicatement, de l'autre, il m'attira à lui et m'embrassa. Quelle sensation étrange d'embrasser un visage râpeux ! La simple idée d'une langue d'homme dans ma bouche me fit bander comme jamais. Je repris possession de son corps, le léchais, descendant lentement vers sa verge qui devenait presque une obsession. Tout en me disant que je n'allais quand même pas sucer une queue. Ma langue parvint enfin à son pubis, son aine moite, odorante et ma joue vint mourir contre sa hampe dressée que j'embrassais doucement, léchais timidement. Je remontais vers son gland dont la texture douce et veloutée sous ma langue m'émerveilla. Je soupirai d'aise en le coiffant de ma bouche. D'un léger mouvement du bassin, il me pénétra la bouche. Je pris soin de ne pas l'agresser de mes dents et arrondis mes lèvres autour de sa queue. Une étrange paix m'envahit, couplée à un intense bonheur, tandis que je commençais des va et vient sur cette bite douce et vibrante. Je jouais de ma langue en espérant faire (du) bien. Je me guidai sur ses gémissements. Sa main vint se poser sur ma nuque, exerçant une douce pression. À cet instant, je compris que les "positions" étaient définies entre nous, sans qu'un mot ne fût dit. Il était le mâle, j'étais la femelle. Et je ne voulais pas autre chose. Ça aussi, je le savais maintenant. Au bout d'un moment, il m'interrompit. Quelle frustration !! Il me bascula sur le dos et revint m'embrasser, plus fort que la première fois, plus sauvagement. Un peu en "propriétaire". Ses doigts se mirent à jouer avec mes tétons et je m'étonnais de ressentir du plaisir de ce côté-là. Il me caressait avec rudesse, je le sentais s'exciter. Et j'aimais être l'objet de son désir. Sa main s'insinua entre mes jambes, saisit ma queue, la caressa, la malaxa avant de descendre saisir mes couilles, puis glisser entre mes fesses. Je me rendis compte que mon anus "palpitait" légèrement. Il y posa un doigt et commença à me masser. Mon excitation continuait de monter. Je le voulais, je commençais à vouloir sa queue en moi. Mais il continuait à me masser, me portant lentement à ébullition. Quand je fis mine de me redresser, il me plaqua contre le carrelage, m'enjamba et me colla sur le visage sa queue et ses grosses couilles poilues. Il se frottait sur mes lèvres, ma langue. Je respirais son odeur puissante et chavirante. Puis sans un mot, il me fit me relever et m'entraîna vers la porte. Je compris qu'il voulait monter à l'étage vers les coins "câlins". Je le vis alors en pleine lumière, quinqua bedonnant. Cette interruption faillit rompre le charme, mais son attitude restée très dominatrice, n'admettant pas le refus, me permit de rester dans le moment. En haut, il refusa la seule "cabine" disposant d'une porte pour choisir un coin fermé d'un simple rideau. Il me poussa sur le matelas et revint me fourrer sa queue dans la bouche. Peu à peu, je sombrais dans cet état magique d'excitation soumise.
Sitôt sa queue redevenue dure, il me retourna sur le ventre et se mit à me tripoter rudement les fesses. Puis les écarta sans ménagements pour y plonger sa langue qui vint titiller mon trou. Je le voulais et malgré moi, mon cul se soulevait pour aller à sa rencontre. J’essayais de lui faire comprendre que je voulais plus, mais il me fallut lui demander. Il fallut que je lui dise "prends-moi !" en suppliant presque. A ce moment-là, il sourit un peu crânement et me plaqua la tête dans le matelas. Je l'entendis fouiller dans le petit panier, près du matelas. Je devinai qu'il en sortait une capote. Peu de temps après, je sentis une substance froide et douce sur mon anus. Il me massa un peu et je me sentis m'ouvrir. Puis il bougea et je sentis son corps écraser le mien et sa queue dure, chaude palpitante se poser dans ma raie. Puis inexorablement descendre jusqu'à s'appuyer à l'entrée de mon trou et s'y engouffrer, lentement, sans heurts et sans hésitation. La position m'empêchait de faire quoi que ce soit pour y échapper. Je me sentais fendu en deux. Sans vraie douleur (en tout cas raisonnable) mais avec une sensation incroyable, totalement nouvelle d'invasion. Son bassin vint s'appuyer contre moi. Je sentais mon anus palpiter autour de sa verge. Il me semblait bizarrement avoir attendu cet instant toute ma vie. Il commença à aller et venir lentement en moi, m'écrasant à chaque aller. Petit à petit, je sentis mon bassin accompagner le mouvement. Puis l'accélérer. Sans sortir de moi, il me fit remonter à quatre pattes, puis me fit lâcher les bras et enfoncer la tête dans le matelas. Mon cul tendu encaissait ses coups de boutoirs qui se faisaient plus puissants. Quel bonheur. Je voulais qu'il me défonce, qu'il m'utilise pour son plaisir, qu'il me déchire. Il m'a baisé ainsi, un long moment. Puis il est sorti de moi pour me remettre sur le dos. Il m'a levé les jambes pour les appuyer sur ses épaules et m'a pénétré à nouveau, sans hésitation. En entendant des pas dans l'escalier, j'eus un mouvement de recul et voulus me cacher. Il m'en empêcha et accéléra ses mouvements. M'arrachant des gémissements de plaisirs et de honte mêlés. Je ne tardais pas à voir le visage du premier inconnu passer dans l'entrebâillement du rideau pour mater la scène. Il regarda un moment avant de sortir sa queue et de commencer à se caresser.

"Il baise bien ? " demanda-t-il à Gérard.
"Elle a besoin d'éducation, mais la base est bonne ! " répondit Gérard.

Il avait dit "elle" et cela me troubla délicieusement. Il continua à parler de moi, de mon cul comme si je n'étais qu'un jouet tandis que Gérard s'était mis à me défoncer joyeusement. Je regardais l'autre jouir dans sa main et regrettai presque de ne pas avoir senti ses jets chauds s'écraser sur ma peau. Il disparut ensuite.
Gérard me regarda alors et me dit :

"Je vais te faire jouir, puis je jouirai. Deux solutions, soit je jouis dans ma capote au fond de ton cul et tout s'arrête là, soit je jouis sur toi et alors, tout commence... Je te
lailatvx - le 09/06/2012 à 04h46